Discours d'Alexandre MANCINO lors de la soirée de rentrée solennelle 2025
Alexandre MANCINO, Président du Cercle Orion
Discours prononcé le 15 septembre 2025 à l’occasion de la soirée de rentrée solennelle du Cercle Orion au Jockey Club
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Monsieur le Président du Comité de soutien, Cher Henri
Mesdames et Messieurs les membres du Comité de soutien, Cher Jean-Baptiste, Chère Florence,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Monsieur l’Ambassadeur,
Monsieur le Secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques, Cher Bernard,
Madame la Maire,
Monsieur le Président du Conseil d’administration du Groupe Safran, Cher Ross,
Mes chères consœurs, mes chers confrères,
Chers membres du Cercle Orion, Chers Directeurs,
Mesdames et Messieurs,
Chers amis,
Je me réjouis de vous retrouver ce soir pour la traditionnelle soirée de rentrée solennelle du Cercle Orion qui se tient chaque année en septembre. Cette soirée devient un rituel parisien couru années après années : d’abord au Château de Versailles il y a trois ans, à l’Automobile Club de France en 2023 puis à la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale l’année dernière, nous nous retrouvons ce soir au Jockey Club de Paris, lieu qui symbolise tout à la fois l’excellence, l’histoire et la tradition. Je remercie Philippe DE CHOLLET, cher Philippe, membre du Cercle Orion qui m’a très gentiment proposé d’organiser cette soirée dans ces magnifiques locaux.
Cette rentrée revêt une importance particulière, au regard bien sûr du contexte national morose dans lequel nous sommes mais aussi du contexte européen et international ; ceci couplé au retour du froid et de la pluie. L’été est bel et bien derrière nous.
Elle revêt aussi un caractère spécial en raison, vous l’avez dit François, du pré-lancement de mon premier Essai, « Redonner sa grandeur à la politique », fruit de longs mois de travail, j’y reviendrai.
Cette soirée de rentrée solennelle vise tout à la fois à vous présenter en avant-première mon Livre qui sortira en librairie le 13 novembre prochain, en lien avec la vision du Cercle Orion et de ses objectifs ; dresser avec vous un bilan de l’année qui s’est écoulée et de vous présenter les perspectives pour la nouvelle saison qui débute.
Fondé en 2017 à Paris alors que j’étais encore étudiant, le Cercle Orion va fêter cette année ses neuf ans et son projet n’a cessé d’évoluer et de se structurer autour des défis qui nous font face.
D’abord club étudiant, nous avons aujourd’hui eu l‘ambition de dépoussiérer le marché des cercles de réflexion français dans une époque de grand tumulte où l’on ne pense plus. La pensée, préalable indispensable au service de l’action bien sûr, inscrite sur le long terme.
Orion est une structure agile, évolutive, qui a su s’adapter continuellement, fort d’une identité qui lui propre, d’une singularité, tant sur le fond que sur la méthode, et d’une hybridité, de think-tank, mais aussi de club d’influence et bientôt d’Institut de formation, j’y reviendrai.
Une des particularités est notre raison d’être statutaire, qui nous différencie sur la place parisienne et qui consiste à incarner et à promouvoir une nouvelle génération de décideurs engagés, libres et audacieux, désireux de prendre part aux enjeux contemporains et d’y apporter des solutions à impact pérennes pour le présent et l’avenir, dans un esprit entrepreneurial et innovant, orientées vers le bien commun. A cet égard, nos projets pour 2025-2026 entendent répondre à cette nécessité de forger une relève à la hauteur des défis actuels.
Cette matérialisation de la raison d’être est un objectif majeur pour forger cette relève que nous appelons de nos vœux. J’ai en effet la conviction que nous sommes à la fin d’un cycle paradigmatique que ma génération n’a pas connu ; que sommes dans un momentum sans précédent en France et dans le monde ; et qu’il nous faut comprendre les causes qui ont amené à l’échec des élites politiques actuelles pour nous projeter loin et construire quelque chose de nouveau en prenant toute notre part dans l’écriture du nouveau chapitre qui advient. C’est tout l’objet de mon premier Essai politique qui paraîtra en librairie le 13 novembre prochain, « Redonner sa grandeur à la politique ».
Dans cet Essai, qui est un projet majeur pour moi cette année – et je remercie François d’Aubert pour sa confiance –, je fais un diagnostic en analysant les causes qui sont selon moi celles de l’échec de l’élite politique française à réformer le pays depuis tant et tant d’année : un déni de réalité, une inefficience de l’action publique, un déracinement, un divorce avec le peuple entre autres choses. A ceux qui me diront que le constat est sévère, je leur dirai que nous ne pouvons pas construire l’avenir sans avoir un regard lucide sur le présent. Bien sûr, ce Livre n’est pas qu’un constat puisqu’il propose aussi une nouvelle philosophie d’action publique pour s’inscrire dans ce nouveau cycle qui advient. Je propose à cet égard, et vous trouverez les détails dans le Livre, un nouveau pacte social entre les citoyens et leurs représentants, un nouveau corpus intellectuel, une nouvelle éthique – que je qualifie d’éthique de l’engagement, inscrite dans l’intérêt général. J’aurai l’occasion de présenter l’ouvrage en détail à l’occasion de sa sortie en librairie le 13 novembre prochain, lors de soirées dédiées tout au long de l’automne et en début d’année prochaine. Je ne peux que vous inciter à en parler autour de vous et à le pré-commander si l’envie vous en prend. Il s’agit, vous l’avez compris, d’un Livre-manifeste qui appelle à une relève audacieuse, à la hauteur des défis actuels, tournée vers l’avenir, lucide, je crois sur la situation du pays, mais résolument optimiste pour construire autrement le monde qui vient.
Cet Essai s’inscrit bien sûr dans le projet du Cercle Orion qui s’attache à comprendre, à analyser, à proposer, à faire dialoguer les différentes élites entre elles, qu’elles soient politiques ou économiques pour innover et s’affranchir des cadres anciens qui ont amené à des échecs et à des déceptions. Il s’inscrit dans une démarche métapolitique et s’intéresse aux qualités attendues du décideur public pour recréer de la confiance et faire de nouveau rêver le peuple français. Car Mesdames et Messieurs, force est de constater que la grandeur, pourtant consubstantielle à la politique et à toute action de pouvoir, en ce qu’elle permet de changer la vie des gens, a disparu. Et j’aime trop la politique pour m’y résoudre.
Le Cercle Orion, autonome de toute formation politique, est en mesure de dialoguer avec un vaste éventail de décideurs politiques, administratifs et économiques pour transmettre nos diagnostics et nos préconisations élaborées dans le cadre de nos travaux de Recherche et Prospective. Nous voulons promouvoir une nouvelle élite, dans une approche intergénérationnelle, pour donner aux décideurs de demain les clés des mécanises non-écrits du pouvoir ; avec des passeurs, que vous êtes pour beaucoup d’entre vous et qui voudront bien nous aider à construire l’avenir autrement, faire émerger des élites créatives, moins technocratiques et rassembler largement autour de valeurs partagées.
Nous le voyons tous les jours : la défiance que rencontrent les citoyens à l’égard de leurs élus atteint un niveau record ; ceci nourrit les populismes et la montée en puissance des partis hors-systèmes. Je ne fais pas partie de ceux qui pensent que les citoyens ont les élites qu’ils méritent : je pense qu’un dirigeant, dès lors qu’il est aux responsabilités, doit impulser une vision et porter son pays vers le haut. Je pense aussi qu’il est responsable devant le peuple dès lors qu’il est aux manettes et doit l’amener vers un horizon clair avec vision et sens du bien commun.
Dans ce contexte, le Cercle Orion entend peser de tout son poids pour défendre des convictions fortes, ancrées dans un corpus libéral-conservateur, moderne et ouvert, sans bien-pensance, mais avec un discours de vérité.
J’ai la conviction que le désenchantement démocratique actuel appelle à faire la guerre des idées et à innover démocratiquement. J’ai la conviction que des structures comme la nôtre, dès lors qu’elle se différencie avec courage intellectuel, sont nécessaires au débat démocratique et peuvent initier le nouveau cycle qui advient.
La construction de toute pensée politique, de tout corpus de normes et de valeurs, est nécessairement adossée à un corpus doctrinal cohérent. Mais comment voir une continuité de pensée politique dans le contexte national actuel ? La réflexion, le sens de la nuance, la vision de long terme ont disparu au profit de l’immédiateté, des idéologies et des chaînes d’information en continue. La pensée cède face à la communication ; nous sommes résolument entrés dans l’ère du politique-communiquant – tel que je l’énonce dans mon Livre – qui nuit à la démocratie en oubliant le sens de l’intérêt général.
Nous avons dès lors besoin, dès maintenant, de redonner de l’espérance, de consolider la pensée de long terme en reprenant appui sur les grandes références du passé, tout en adaptant la gouvernance publique à l’époque contemporaine.
Quelques mots maintenant sur les défis qui nous font face, au soutien de la thèse de la fin de cycle que je porte et qui nous mène à la croisée des chemins.
Sur le plan national, nous voyons bien que le cycle institutionnel démarré en 2000-2002 avec l’instauration du quinquennat et l’inversion du calendrier électoral touche à sa fin compte tenu de l’impossibilité actuelle, avec la tripartition de l’Assemblée nationale, de disposer d’une majorité soutenant le Gouvernement. La dissolution de l’Assemblée nationale décidée en 2024 par Emmanuel MACRON a inauguré une période d’instabilité gouvernementale qui n’est pas en voie de s’atténuer, avec des gouvernements qui tombent les uns après les autres et une situation budgétaire sans équivalent en Europe, d’où la récente dégradation de la note de la France par l’agence Fitch.
À cette crise politique sans précédent, je fais plusieurs propositions dans mon Livre : l’innovation démocratique en est une, à travers une réforme des modes d’expression de la démocratie et davantage de participation citoyenne.
Sur le plan européen, l’Europe est elle aussi à un tournant car elle n’a jamais été pensée en puissance. Sans remettre en cause le projet initial, de promotion de la paix après la Seconde Guerre Mondiale, nous devons nous rendre à l’évidence. L’Europe, telle qu’elle est aujourd’hui constituée, ne fonctionne plus et se fait peu à peu vassalisée. La Commission européenne présidée par Ursula VON DER LEYEN a conclu l’accord de libre-échange avec le Mercosur en Amérique du Sud et n’a pu résister aux sirènes américaines pour signer l’accord commercial déséquilibré avec l’administration TRUMP. Ces deux données fragilisent tant l’économie européenne que la poursuite de nos objectifs climatiques au sein du marché intérieur compte tenu de l’achat d’énergie non décarbonée prévue dans l’accord avec les EU.
Dans mon Livre, je fais des propositions pour refonder en profondeur le projet européen auquel je suis extrêmement attaché avec le Cercle Orion – nous avons à ce sujet publié de très nombreuses publications sur l’Europe puissance que nous souhaitions, une Europe forte, capable de défendre ses intérêts vitaux avec pragmatisme comme le font les États-Unis ou la Chine.
Sur le plan international, nous sommes là aussi à la fin d’un cycle où tous nos repères multilatéraux post Seconde Guerre Mondiale s’effritent les uns après les autres. La guerre en Ukraine, le désengagement américain, les intimidations russes à l’encontre de l’OTAN, la situation à Gaza font triompher le retour de la force au détriment du droit. L’enceinte onusienne résonne de manière creuse alors que le monde s’embrase. La France n’est plus écoutée, même si son initiative récente de reconnaissance de l’État palestinien lui a redonné quelque visibilité sur le plan international ces derniers jours. Au Cercle Orion, nous portons la souveraineté parmi nos sujets d’études phares et nous avons pu, à travers notre Initiative Puissance et Sécurité Globale, faire des propositions fortes et réfléchir à l’influence sur la scène internationale.
Mesdames et Messieurs, cette année 2025 est donc une année de vivacité intellectuelle sans précédent au cours de laquelle de nouveaux projets ambitieux ont vu le jour :
Depuis janvier dernier, nous avons eu l'occasion de recevoir différentes personnalités du monde politique et diplomatique pour enrichir notre réflexion quant à la situation politique et aux grands enjeux du monde. L’année 2025 a été pour le Cercle Orion très riche, tant en événements qu’en termes de publications d’études. Dans le cadre de l’approfondissement de nos études sur la situation internationale, nous avons ainsi reçu le général Dominique TRINQUAND. Nous avons aussi reçu la constitutionnaliste Anne LEVADE et le philosophe et essayiste Raphaël ENTHOVEN, ce qui complète nos activités de Recherche et Prospective sur les questions juridiques intérieures et européennes. En effet, cette année a vu se développer le cycle de publications de l’Initiative Droit, Libertés et Démocratie ainsi que l’Initiative Confiance et Démocratie. Dans ce cadre, nous avons notamment élaboré un rapport avec des propositions d’actions pour rebâtir la confiance civique à l’heure où la cohésion nationale est largement ébranlée.
Sur ce premier semestre, nous avons aussi travaillé sur les mutations de la mondialisation à l’ère du retour en force du protectionnisme avec Donald TRUMP. Nous avions également consacré des études à l’émergence de la finance durable pour concilier l’exercice des activités de finance avec la réponse apportée au défi climatique.
Par ailleurs, nous avons lancé des projets qui visent à matérialiser la raison d’être méta-politique du Cercle Orion. J’aimerais donc dire quelques mots d’un nouveau projet phare qui fera suite à la sortie de mon Livre en librairie : le lancement de l’Institut de la Relève.
Nous l’avons vu, le monde est confronté à des changements paradigmatiques structurants qui appellent un renouvellement des élites dirigeantes, plus aptes à y répondre et à y apporter des solutions pérennes et impactantes. Cet Institut de la Relève est un pilier structurant du Cercle Orion, destiné à faire vivre sa « raison d’être », à promouvoir son « esprit » et à lui conférer un rôle « méta-politique » large qui s’inscrit dans le temps long, soucieux de faire émerger une nouvelle génération de décideurs engagés pour construire le monde de demain. Il s’articule autour de deux Piliers : la Chaire de formation au leadership et la Fabrique qui sera un incubateur de projets d’intérêt général.
Ancré dans un « esprit » d’excellence, entrepreneurial, jeune et innovant, la Chaire de l’Institut de la Relève organisera des agoras trimestrielles thématiques ouvertes au public autour du concept de “nouvelle ère” ; des ateliers pour former les jeunes décideurs aux enjeux contemporains et au leadership ; l’organisation d’un Forum de jeunes décideurs autour du leadership responsable est aussi à l’ordre du jour.
En outre, la Fabrique sera complémentaire à la Chaire et visera à favoriser l'éclosion d'un écosystème d'entrepreneurs engagés pour la Cité et désireux de promouvoir les innovations de rupture en phase avec les enjeux de l'époque et d'avoir de l'impact dans les causes défendues par Orion.
Cette Fabrique rassemblera des entrepreneurs de la GovTech engagés autour des causes « signatures » Orion ; organisera des événements réguliers de networking de très haut niveau rassemblant des décideurs de tous horizons : politique, économique et entrepreneurial… ; et organisera d’un Prix de l’Entrepreneur politique pour mettre en avant l’innovation dans le secteur public.
[Matérialisation de la raison d’être, différenciation] Désormais, et j’insiste, je souhaite que le Cercle Orion soit identifié comme une structure innovante qui puisse servir de pont entre les nouvelles élites et des passeurs qui souhaiteront avoir la responsabilité de la transmission. La matérialisation de cette raison d’être de promotion d’une nouvelle élite est pour moi fondamentale dans les mois qui viennent à l’aube des élections municipale de 2026 – je salue par ailleurs la présence de Pierre-Yves BOURNAZEL ce soir – et présidentielle de 2027. Nous aurons l’occasion d’y prendre toute notre part, et ce, dès la fin d’année avec la refondation d’Agora, le micro-parti politique que j’avais créé en 2022 dans une perspective électorale.
Quelques mots maintenant sur les enjeux qui sont les nôtres dans notre phase de développement actuel :
[S’agissant tout d’abord de notre stratégie économique] Pour concrétiser nos objectifs, j’ai élaboré une stratégie économique et créé un Comité de soutien. Celui-ci vise à s’appuyer sur des personnes physiques qui soutiennent une initiative citoyenne, jeune, ambitieuse. Je tiens tout particulièrement à remercier ceux des membres du Comité de soutien qui me font le plaisir et l’amitié de leur présence ce soir. Vous contribuez de manière décisive – cher Henri, cher Jean-Baptiste – à la notoriété croissante du Cercle Orion mais aussi à la poursuite de ses ambitions.
Seulement vous le savez, pour porter loin nos objectifs, nous allons avoir besoin de passer à l’échelle supérieure pour la récolte des dons. Une stratégie économique ambitieuse existe désormais, tant pour des personnes physiques – vous donnant accès de manière privilégiée à nos différents évènements – que pour des personnes morales, entreprises voulant adhérer au think-tank et bénéficier d’expertises pour leurs enjeux business. Je ne peux que vous inciter à parler du projet Orion autour de vous, à en devenir des ambassadeurs et à nous soutenir pour celles et ceux d’entre vous qui le peuvent. Je me tiens à cet égard à votre disposition pleine et entière.
[S’agissant maintenant de notre stratégie d’affaires publiques et d’attractivité] Là aussi, nous sommes confrontés à un défi majeur qui doit concilier à la fois le renforcement de notre visibilité – à travers une solide stratégie de communication médias – et en même temps rester fidèle à l’histoire d’Orion, à nos fondamentaux, à notre image assumée à la fois moderne et traditionnelle. La visibilité médiatique est pour moi indispensable, de même que le renforcement de notre impact et influence dans le débat public ; parce que bien sûr, il ne s’agit pas de rester dans l’entre soi du Jockey Club mais d’en sortir pour convaincre et influencer largement.
Par ailleurs, notre développement implique d’attirer de nouveaux talents, et à la fois, d’assurer l’entrée de recettes de cotisations qui nous permettent d’agir. N’hésitez pas à en parler autour de vous ou à nous rejoindre pour celles et ceux d’entre vous qui ne sont pas membres. Je lance cet appel solennellement en vous permettant – et nous reviendrons vers vous à cet égard – de nous rejoindre directement sans démarche autres que celle du paiement de votre cotisation.
J’attire enfin votre attention sur la reprise de nos dîners-débats mensuels en octobre avec le diplomate Gérard Araud (22 octobre), la philosophe libérale Laetitia Strauch-Bonart (19 novembre) et le candidat à la mairie de Paris Pierre-Yves Bournazel (11 décembre). Vous pouvez d’ores et déjà vous y inscrire en ligne sur notre site.
Voilà Mesdames et Messieurs quelques jalons de ce que sont nos objectifs stratégiques en cette rentrée. J’adresse mes remerciements à mon équipe engagée aux côtés du Cercle Orion depuis de long mois, voire de longues années ; merci aux membres pour votre engagement et merci à tous pour votre confiance. Nous aurons besoin de votre soutien et de vos relais dans les prochaines semaines. Nous organiserons avec François d’Aubert un certain nombre d’évènements à l’automne pour la promotion de mon Livre ; et sommes là aussi à votre écoute pour toute suggestion quant à sa visibilité dans le débat public.
Mesdames et Messieurs,
« L’Espérance ne déçoit pas » écrivait Saint-Paul aux Romains.
Puissions-nous nous projeter dans l’avenir avec passion et optimisme pour relever les défis des temps.
Nous y prendrons toute notre part. Tous ensemble.
Je vous remercie.